On aborde souvent la sèche musculaire dans le domaine de la nutrition sportive. Il s’agit d’une perte de poids qui peut prendre différentes formes suivant des méthodes et des objectifs bien établis. Certaines personnes souhaitent perdre du gras et gagner du muscle, d’autres perdre seulement du gras, ou encore se tonifier.
La sèche musculaire est un régime qui a pour but de dessiner les muscles. Contrairement à un régime minceur qui prend effet au niveau alimentaire (s’accompagnant ou non d’une activité physique).
En effet, pour perdre du poids il suffit de créer un déficit calorique, c’est-à-dire manger un peu moins que d’habitude. Bien sûr, en ajoutant à cela l’activité physique le déficit calorique est plus facile à atteindre et vous permet de rester en forme !
A qui se destine-t-elle ?
Dans le cas de la sèche, nous partons sur une base de masse musculaire, plus ou moins conséquente. Il sera également nécessaire de mettre en place un déficit calorique afin de réduire la masse graisseuse et dessiner les muscles.
Finalement une sèche musculaire est souvent destinée aux sportifs souhaitant améliorer leur physique.
L’autre dimension de la sèche, plus drastique, est celle utilisée en compétition de bodybuilding. Les compétiteurs en questions suivent des régimes très poussés destinés à optimiser la structure de leurs muscles. C’est une préparation complexe, réservée aux professionnels, qui nécessite un suivi médical méticuleux.
Bien entendu, la sèche s’adapte aux capacités et objectifs du sportif. Ainsi, on ajuste le programme alimentaire et les entraînements en fonction de chaque personne.
C’est un procédé complexe qui peut s’avérer dangereux. En effet, le métabolisme se dérègle car le niveau de graisse est déjà faible. Le corps subi un stress important du fait d’un déséquilibre dans les proportions des nutriments.
C’est pourquoi, la sèche musculaire doit être de courte durée et implique un suivi nutritionnel.
Photo de couverture : Pikx By Panther provenant de Pexels
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